Les revenus que vous tirez de la location de locaux meublés, en tant que loueur en meublé non professionnel (LMNP), sont soumis au barème progressif de l’impôt sur le revenu. Ils doivent être déclarés en tant que bénéfices industriels et commerciaux (BIC).
Le portail officiel du ministère de l’Intérieur consacré aux démarches administratives : carte grise, immatriculation, carte d’identité, passeport, permis de conduire, accueil des étrangers, acquisition et détention d’armes, associations, élections, réglementation routière, volontariats
Idéal pour devenir propriétaire et louer ses biens meublés, le statut de LMNP présente de nombreux avantages. Défiscalisation, exonération de la TVA, simplification administrative. Découvrez pourquoi il est intéressant d’investir dans la LMNP !
Idéal pour devenir propriétaire et louer ses biens meublés, le statut de LMNP présente de nombreux avantages. Défiscalisation, exonération de la TVA, simplification administrative. Découvrez pourquoi il est intéressant d’investir dans la LMNP ! La Location Meublée non Professionnelle (LMNP) est un statut fiscal qui permet aux particuliers de louer un logement à usage d’habitation principale, sans avoir à s’immatriculer à l’ordre des professionnels de l’immobilier.
Calculer le coût d’un prêt à l’avance est essentiel pour comparer les différentes offres et sélectionner les meilleurs prêts personnels. Dans de nombreux cas, un prêteur peut être présenté comme la meilleure option, mais vous devez le vérifier vous-même en effectuant vos propres calculs. Ainsi, avec un simulateur de prêt personnel, vous saurez si l’offre correspond vraiment à vos besoins.
En effet, cet outil vous permet d’obtenir une estimation de la valeur des mensualités et du temps qu’il vous faudra pour rembourser votre crédit. Découvrez dans cet article l’essentiel sur le prêt personnel et sa simulation, pour mieux préparer et gérer vos finances.
Calculer le coût d’un prêt à l’avance est essentiel pour comparer les différentes offres et sélectionner les meilleurs prêts personnels. Dans de nombreux cas, un prêteur peut être présenté comme la meilleure option, mais vous devez le vérifier vous-même en effectuant vos propres calculs.
Avec le nombre de réseaux influents sur le web, il est parfois difficile aux dirigeants d’avoir un œil sur tous. Il ne faut jamais éluder le fait que l’e-réputation commence par celle du dirigeant et donc écrire sur le web demande d’éviter à se laisser à répondre de façon spontanée en exprimant des émotions comme la colère ou bien des critiques acerbes liées au mépris. Avec l’avancée de la technologie, le web est devenu un moyen de communication à l’échelle mondiale. Dans le monde de l’entreprise, une réputation se construit grâce à internet.
L’entrepreneur le sait, il ne doit jamais stagner et être à l’affût des innovations, des nouvelles tendances pour ne se retrouver dans une impasse. Pour cela, il doit ouvrir les fenêtres de l’écoute. Curiosité, Persévérance et Créativité, les trois qualités qui permettent de développer la croissance grâce à l’acquisition de nouveaux clients. Il arrive souvent qu’envahi par notre force d’inertie, notre curiosité ne soit plus au top, que notre créativité se limite à des idées qui ne sont guère innovantes et que notre persévérance nous détourne de nous lancer des challenges et se transforme en endurance.
Fin juin, le studio de créations florales en fleurs séchées Ayame Flowers a levé en 6 semaines 5.630 euros grâce à une campagne de crowdfunding. Les conseils des deux cofondatrices, Laura Llobell et Marion Malauvé.
Une opération de crowdfunding ne s’improvise pas. Laura Llobell et Marion Malauvé, les deux fondatrices d’Ayame Flowers, studio parisien de créations florales en fleurs séchées en ligne, s’y sont préparées bien avant le lancement de leur campagne de financement participatif le 30 avril dernier.
Quinze jours plus tard, elles avaient déjà atteint leur objectif de 5.000 euros, pour finalement boucler à 5.630 euros. Leurs conseils.
#1. Mobiliser sa communauté
« Nous avons mobilisé notre communauté par cercles concentriques de plus en plus larges », explique Laura Llobell. Deux mois avant le début de la campagne, les cofondatrices ont contacté leurs amis et leurs familles.
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Elles ont aussi créé les comptes Instagram et Facebook de la e-boutique, qui leur ont servi à diffuser un questionnaire pour leur étude de marché. Elles ont ainsi récolté 270 adresses mail supplémentaires. Ce premier cercle a représenté une cinquantaine de dons.
« Le taux de conversion se situe en moyenne entre 1 et 20 % donc il faut toujours partir avec une cible potentielle bien plus large », conseillent les créatrices. Trois jours après le lancement de la campagne, elles ont sollicité les amis d’amis ou leurs followers des réseaux sociaux. Ce cercle n° 2 a constitué une cinquantaine de nouveaux contributeurs.
#2. Se former
Les deux entrepreneuses ont suivi le programme Entrepreneurs Leaders du réseau d’accompagnement et d’aide à la création d’entreprise BGE. « Ulule, la plateforme que nous avons choisie, propose de nombreuses documentations et webinaires en amont. Nous nous sommes ainsi formées à l’optimisation des vidéos », témoigne Marion Malauvé.
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Pendant toute la durée de la campagne, un coach Ulule a aussi été mis à leur disposition par mail ou en visioconférence. « Tous les trois jours, nous avions son retour sur ce qu’il fallait améliorer ou compléter, comme les visuels, les prix préférentiels pour les donateurs ou les contreparties. »
#3. Fixer un objectif réaliste
« Notre montant objectif de 5.000 euros a été défini lors d’un webinaire de la plateforme. En moyenne, la contribution sur Ulule est de 50 euros par donateur pour des collectes d’environ 4.500 euros. De notre côté, une centaine de contributeurs nous paraissait un chiffre réaliste d’où notre objectif qui nous permettait de financer notre premier stock de fleurs séchées et de contenants », détaille Marion Malauvé.
Les créatrices conseillent de définir un objectif bas plutôt qu’élevé car la plateforme fonctionne sur le principe du tout ou rien. Si l’objectif n’est pas totalement atteint, les contributeurs sont remboursés. Et en cas de succès avant la date de clôture de la campagne, un nouveau palier à 150 % peut toujours être fixé pour la fin de l’opération.
#4. Dynamiser sa communication
« La page et le design du projet sur la plateforme doivent être attrayants pour donner une bonne impression. Le site nous a aidées en nous présentant des exemples inspirants de projets similaires au nôtre », explique Laura Llobell.
Au cours de la campagne, les créatrices ont communiqué au moins deux fois par semaine par mails, posts ou stories sur les réseaux sociaux, et partager leurs péripéties pour tenter de capter de nouveaux donateurs.
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Ayame Flowers a aussi pratiqué l’échange de visibilité avec d’autres start-up qui partageaient leurs valeurs, en organisant des jeux-concours pour gagner leurs produits.
#5. Veiller au tempo
« Une campagne de crowdfunding demande beaucoup de travail donc il faut la tenir sur une durée de 30 à 45 jours au maximum », indique Laura Llobell.
La levée de fonds fonctionne généralement en U avec un côté engouement au début, suivi d’une période plus calme, puis certains donateurs vont se réveiller cinq jours avant la fin de l’opération. « C’est à ce moment-là qu’il faut avertir de l’approche de la clôture. »
Leur dernier conseil, « il vaut mieux lancer sa campagne en début de semaine, un lundi ou un mercredi par exemple, car ce sont statistiquement les jours où il y a le plus de donations. »
En tout, 113 contributeurs ont participé à la campagne d’Ayame Flowers. L’entreprise propose également ses créations auprès de bars, restaurants, wedding planner ou agences de communication.
L’aide aux créateurs et repreneurs d’entreprise (ACRE) est un dispositif d’exonération de cotisations sociales dont l’objectif est de favoriser la création et la reprise d’entreprises. Les conditions pour bénéficier de l’ACRE (ex ACCRE) en début d’activité ont considérablement évolué en 2019 et dépendent de la date de souscription. Les créateurs ou repreneurs relevant du régime des travailleurs indépendants ou du régime micro-social sont soumis à un régime spécifique. A quoi sert l’ACRE ? Qui peut en bénéficier ? Comment effectuer la demande ? Eclaircissements.
12 mois d’exonération de cotisations sociales
Les créateurs ou repreneurs d’entreprise affiliés au régime général et bénéficiant de l’ACRE sont exonérés des cotisations salariales et patronales pendant 12 mois à compter de la date du début d’activité de l’entreprise. L’exonération est totale si la rémunération est inférieure à 75 % du plafond annuel de la Sécurité sociale (soit 30 852 €). Elle est dégressive si les revenus du créateur ou repreneur d’entreprise sont supérieurs à ce seuil et inférieur à 41 136 €. Au-delà de ce plafond, l’exonération conférée par l’ACRE en début d’activité n’est pas applicable.
12 mois d’exonération de cotisations sociales Les créateurs ou repreneurs d’entreprise affiliés au régime général et bénéficiant de l’ACRE sont exonérés des cotisations salariales et patronales pendant 12 mois à compter de la date du début d’activité de l’entreprise. L’exonération est totale si la rémunération est inférieure à 75 % du plafond annuel de la Sécurité sociale (soit 30 852 €).
L’intéressement est un dispositif facultatif d’épargne salariale qui est mis en place par voie d’accord avec les salariés et qui permet à la fois de motiver et de fidéliser les salariés en les associant financièrement aux résultats ou à la performance de l’entreprise. Mais comment mettre en place ce dispositif dans votre entreprise ? Sous quelles conditions ? Quels sont les avantages ? On vous dit tout.
Qu’est-ce que l’intéressement ?
L’intéressement est un dispositif facultatif résultant d’un accord entre partenaires sociaux, qui permet à toute entreprise qui le souhaite, d’associer financièrement ses salariés aux résultats ou aux performances de l’entreprise.
Depuis le 1er janvier 2019, la suppression du forfait social permet aux chefs d’entreprise de moins de 250 salariés de ne payer aucune charge pour les primes versées au titre de l’intéressement à leurs salariés.
Quelles entreprises sont concernées par l’intéressement ?
Toutes les entreprises peuvent le mettre en place, quelle que soit leur forme juridique, leur nombre de salarié ou leur domaine d’activité.
Cependant, l’intéressement est facultatif, il n’est pas imposé par la loi.
Par quelles modalités une entreprise peut-elle mettre en place l’intéressement ?
L’intéressement est mis en place par voie d’accord collectif entre l’employeur et les salariés.
Pour toutes les entreprises, l’accord d’intéressement peut être conclu soit par :
convention ou accord collectif de travail de droit commun (c’est-à-dire avec un ou plusieurs délégués syndicaux)
accord entre l’employeur et les représentants d’organisations syndicales représentatives
accord au sein du comité social et économique (CSE)
referendum adopté à la majorité des 2/3 du personnel, d’un projet d’accord proposé par l’employeur.
Pour les entreprises de moins de 50 salariés : si l’accord d’intéressement que vous souhaitez mettre en place est celui de votre branche professionnelle (voir paragraphe suivant), il est possible de le mettre en place par une simple décision unilatérale du chef d’entreprise lorsque l’accord de branche propose un seul modèle sans option.
Quel est le contenu obligatoire d’un accord d’intéressement ?
un système d’information du personnel et de vérification des modalités d’exécution de l’accord
un préambule indiquant les motifs de l’accord ainsi que les raisons du choix des modalités de calcul de l’intéressement et des critères de répartition de ses produits
Par ailleurs, l’accord précise obligatoirement :
la période pour laquelle il est conclu
les établissements concernés
les modalités d’intéressement retenues
les modalités de calcul de l’intéressement et les critères de répartition de ses produits (dans le respect des articles L. 3314-1 à L. 3314-7 du code du travail)
les dates de versement
les conditions dans lesquelles le comité d’entreprise ou une commission spécialisée, ou à défaut, les délégués du personnel disposent des moyens d’information nécessaires sur les conditions d’application des clauses du contrat
les procédures prévues pour régler les éventuels différends dans l’application de l’accord ou lors de sa révision.
Accord d’intéressement : comment faire ?
Chaque entreprise est libre de définir par elle-même son propre accord d’intéressement, à condition qu’elle respecte les obligations liées à la conclusion de l’accord et aux clauses devant obligatoirement être contenues dans tout accord d’intéressement (voir paragraphe précédents).
Cependant, pour mettre en place très facilement l’intéressement au sein de sa structure, l’entreprise peut utiliser, au choix, 2 ressources :
le modèle-type d’accord d’intéressement : proposé par le ministère de l’Économie et des Finances et le ministère du Travail : ce modèle-type d’accord d’intéressement reprend point par point les clauses obligatoires devant figurer dans un accord d’intéressement. Le choix de la formule de calcul et les modalités de répartition restent eux cependant entièrement à la main des partenaires sociaux.
l’accord d’intéressement de la branche professionnelle de l’entreprise : l’utilisation d’un accord de branche professionnelle permet à l’entreprise de faciliter sa mise en place et surtout de disposer d’un accord adapté à son secteur d’activité. Actuellement, 12 branches professionnelles disposent d’un accord.
Les 3 étapes de la mise en place d’un accord d’intéressement
Aide à la mise en place d’un accord d’intéressement
Afin d’aider les entreprises dans la création de leur accord d’intéressement, l’Urssaf, le ministère du Travail et le ministère de l’Économie, des Finances et de la Relance se sont associés pour proposer un nouveau service en ligne : Mon-interessement.urssaf.fr. Ce dispositif permet aux entreprises qui le souhaitent de bénéficier gratuitement d’un accompagnement personnalisé tout au long de l’élaboration des grandes étapes de l’accord d’intéressement.
Pour combien de temps est conclu un accord d’intéressement au sein d’une entreprise ?
Depuis le 9 décembre 2020, les accords d’intéressement peuvent être conclus pour une durée comprise entre 1 an et 3 ans. Jusqu’à cette date, les accords d’intéressement étaient conclus pour une durée de 3 ans et seuls ceux conclus entre le 1er janvier 2020 et le 31 août 2020 pouvaient, à titre dérogatoire, avoir une durée de 1 à 3 ans.
Un accord d’intéressement est conclu pour une durée de 3 ans et peut faire l’objet d’une reconduction tacite.
Quelles sommes peuvent être versées au titre de l’intéressement ?
Par essence, les montants qui sont versés aux salariés au titre de l’intéressement varient d’une entreprise à l’autre. Ils peuvent être fonction de divers paramètres, aussi bien quantitatifs que qualitatifs : chiffre d’affaires, résultat d’exploitation, délais de livraison, conduite à terme d’un projet, etc.
Cependant, il existe un double plafond :
le total des primes d’intéressement versées à l’ensemble des salariés bénéficiaires ne peut pas excéder 20 % du total des salaires bruts versés
la somme perçue, par un salarié et par an, au titre de l’intéressement ne peut pas dépasser 75 % du plafond annuel de la sécurité sociale (contre 50 % avant l’entrée en vigueur de la loi PACTE), soit 30 852 € en 2021.
Par ailleurs, si l’intéressement concerne obligatoirement tous les salariés de l’entreprise, la répartition des montants distribués peut, elle, se faire selon 3 possibilités :
être distribuée uniformément
être distribuée proportionnellement au salaire ou au temps de présence du salarié
combiner plusieurs de ces critères.
À savoir
En 2020, dans le cadre des mesures d’urgence prises pour faire face à l’épidémie de covid-19, la date limite de versement des sommes attribuées au titre d’un régime d’intéressement avait été reportée au 31 décembre 2020.
Comment les salariés peuvent-ils disposer des fonds ?
En tant qu’entreprise vous avez l’obligation de verser à vos salariés les sommes attribuées au titre de l’intéressement, selon 3 modalités :
versement automatique sur un plan d’épargne : si le salarié ne se manifeste pas, les sommes perçues au titre de l’intéressement lui sont automatiquement versées (au plus tard le dernier jour du 5e mois suivant la clôture de l’exercice) sur un plan d’épargne salariale. En fonction de leur existence ou non dans l’entreprise, cela peut être un Plan épargne entreprise (PEE), un Plan d’épargne interentreprises (PEI), ou un nouveau Plan d’épargne retraite (PER). La disposition des fonds pour les salariés dépend alors des conditions applicables à chacun de ces produits d’épargne (par exemple les sommes sont disponibles à l’issue d’un délai de blocage de 5 ans pour un PEE)
versement sur le compte épargne-temps (CET) : le salarié peut opter pour verser tout ou partie des sommes reçues sur son CET
versement immédiat au salarié : la somme perçue au titre de l’intéressement peut être en partie ou en totalité versée au salarié, à condition que ce dernier en fasse la demande au plus tard 15 jours après avoir été informé du montant lui étant attribué.
Quels sont les avantages sociaux et fiscaux de l’intéressement pour les entreprises (ainsi que pour les salariés) ?
Les avantages sociaux et fiscaux de l’intéressement bénéficient aussi bien à l’entreprise qu’aux salariés :
Pour les entreprises, afin de favoriser le développement de dispositifs d’épargne salariale, notamment dans les PME, le forfait social (c’est-à-dire la contribution de l’employeur à la Sécurité sociale) est supprimé depuis le 1er janvier 2019 sur l’intéressement pour les entreprises de moins de 250 salariés. Mais il existe d’autres avantages :
Avantages sociaux et fiscaux de l’intéressement pour les entreprises
Régime social
Régime fiscal
Intéressement
exonération des cotisations sociales
forfait social de 20 % qui peut, dans certaines conditions, être supprimé (pour les entreprises de moins de 250 salariés ou être réduit à 10 % ou à 16 %
déduction du bénéfice imposable
exonération de taxes (salaires, apprentissage) et participations (formation continue, construction)
sous certaines conditions et si versement dans le cadre d’un plan d’épargne : constitution d’une provision pour investissement (PPI) égale à 50 % de l’abondement complétant l’intéressement
Pour les salariés, les sommes reçues au titre de l’intéressement sont exonérées de cotisations salariales, à l’exception de la CSG et CRDS. Elles sont soumises à l’impôt sur le revenu si elles sont perçues immédiatement. Si elles sont investies dans le cadre d’un plan d’épargne salariale (PEE, PEI, PERCO, ou nouveau PER), elles sont exonérées d’impôt dans la limite de 75 % du plafond de la Sécurité́ sociale , soit 30 852 € en 2021.
Pour connaitre en détails, les avantages fiscaux et sociaux de l’intéressement, et plus particulièrement de tous les dispositifs d’épargne salariale, consultez la page dédiée sur le site du ministère du Travail.
L’intéressement est un dispositif facultatif d’épargne salariale qui est mis en place par voie d’accord avec les salariés et qui permet à la fois de motiver et de fidéliser les salariés en les associant financièrement aux résultats ou à la performance de l’entreprise. Mais comment mettre en place ce dispositif dans votre entreprise ?
Sauf exception (transport, livre, gaz, électricité…), les prix des biens et services sont librement fixés par les professionnels. Cependant, ces prix doivent être affichés de manière visible et respecter certaines règles pour ne pas tromper le consommateur. Explications.
L’affichage des prix : quelles sont les règles générales ?
L’information sur les prix est obligatoire et ce quelles que soient les formes de vente, qu’il s’agisse de vente en magasin, à distance (correspondance, téléachat, internet), ou hors établissement commercial (à domicile, dans les lieux inhabituels de vente, en plein air, dans les foires, etc.).